Biblio – « Estuaire et Patrimoine »

Je vous propose dans cette nouvelle conférence de continuer le voyage entrepris dans les deux derniers exposés : « L’estuaire en 1875 » et « Une famille montoirine en 1875 ». Dans la première, nous avons suivi le fleuve de Nantes à son estuaire, à la rencontre des différents ports, leurs trafics, les différents types de navires utilisés. Nous avons rencontré les principaux armateurs et des caractéristiques de leur flotte pour se positionner sur les différents marchés. Dans la seconde, nous avons rencontré un ménage de cultivateurs habitant Montoir, en Loire-Inférieure. Nous avons suivi toutes les étapes qui ont jalonné leur vie de couple. Nous en avons profité pour prendre une « photographie » de la vie à cette époque. C’était une évidence, en abordant l’industrie dans l’estuaire, il me fallait parler de la naissance de la construction navale à Saint-Nazaire à partir de 1862. Nous allons nous intéresser au chantier Scott aussi appelé chantier de Penhouet, ancêtre des Chantiers de l’Atlantique. Vous y trouverez une chronologie montrant : sa naissance, les navires construits, les problèmes rencontrés, sa fermeture, mais aussi son implication dans le volet social de Saint-Nazaire à travers le boom immobilier, les cités ouvrières, la société de secours mutuels du chantier…

Depuis des temps immémoriaux les hommes ont traversé les fleuves et les rivières aux points de passage des routes commerciales. C’est un obstacle majeur qui nécessite, du matériel adéquat et un savoir-faire : la spécialisation du passeur s’est faite naturellement. En suivant l’évolution technologique, les hommes ont utilisé toutes sortes d’embarcations pirogues monoxyles, barques à rames, à voile, les bateaux à vapeur puis à moteurs. Nous allons voir lors de cette conférence comment se sont organisées à travers le 19e et le 20e siècle les traversées de la Loire au voisinage de l’estuaire en suivant la chronologie des différents gouvernements.

Nous allons découvrir la famille que vont constituer en 1867, année de leur mariage, Eugène 27 ans, et d’Anne-Marie 25 ans, tous les deux cultivateurs et habitant « au village, en Montoir », en Loire-Inférieure. Nous en suivrons toutes les étapes (le mariage, les naissances, le travail, les décès, etc.) qui ont jalonné leur vie de couple. Nous allons prendre une « photographie » de la vie des Montoirins de cette époque. En ce temps-là, elle était fort différente de la nôtre, plus dure, plus âpre… libre à chacun ensuite de réfléchir au long chemin accompli… Format : PDF – A4, horizontal. Nombre total de pages : 101 ; nombre de figures : 48.

Je vous propose de faire une rapide rétrospective de la navigation à vapeur à partir d’un tableau des contributeurs montrant au fil du temps les différentes expériences ayant été menées pour appliquer la vapeur aux bateaux. Cette liste, bien que très complète, n’est certainement pas exhaustive. Ce mode de présentation à l’avantage de bien montrer le long processus pour arriver à un réel succès de ce mode de transport. Nous ne pourrons étudier chaque item, mais je mettrai l’accent sur quelques-uns qui me semblent intéressants ou déterminants. Nous nous bornerons à étudier la propulsion et nous ne parlerons pas de l’évolution de la machine à vapeur proprement dite, sujet éminemment intéressant, mais qui demanderait à elle seule une ou plusieurs conférences. Elle sera évoquée pour souligner une évolution importante. Cela fait, nous évoquerons les premières expériences de transports de passagers à Bordeaux puis de notre sujet principal : la « Loire » le premier navire à vapeur entre Nantes, Paimboeuf et Saint-Nazaire. L’épisode de la Loire, représente une toute petite partie de l’épopée de la traversée de la Loire que je vous ai présentée il y a quelques années. Format : A4, horizontal. Nombre total de pages : 90 ; nombre de figures : 54.

Lorsqu’une joyeuse bande de vieux amis de Montoir de Bretagne, confinés pour cause de Covid, décide d’instaurer un rendez-vous quotidien par écrans interposés, les quiproquos et situations burlesques se succèdent… et ne manquent pas de pertuber la petite cité momentanément endormie. Un petit bijou d’humour et de tendresse, que n’auraient renié ni Rabelais ni Michel Audiard !

La joyeuse bande de Clovis revient, pour des aventures et des échanges toujours aussi hilarants ! La bande de vieux amis de Montoir de Bretagne, à nouveau confinée pour cause de Covid, a repris ses rendez- vous quotidiens par écrans interposés. Quiproquos et situations burlesques se succèdent… et continuent de perturber la petite cité momentanément endormie. Un petit bijou d’humour et de tendresse, que n’auraient renié ni Rabelais ni Michel Audiard !